Totes Gebirge - Expé 2023 - Autriche

mercredi 1er novembre 2023
par  Cécile
popularité : 6%

Après une année d’interruption, une équipe s’est reformée pour 2023 avec 6 participants :
Julien PAGET (Alpiniste 73), Yoann GIRARDOT (GS La Roche 25), Thomas SERGENTET (ASDC 25), Pauline GEORGES (GS Spiteurs Fous 25), Marc SIEGENTHALER (GS PORRENTRUY - Suisse), Cécile PERROT (GSAM).







Texte : Yoann, Julien, Cécile, Marc, Thomas, Pauline

Photos : Thomas, Yoann, Cécile


Journal de bord du camp :




Lundi 31 juillet

Équipe : Yoann, Julien, Cécile, Marc, Thomas, Pauline
Départ pour chacun de sa contrée. Covoiturage depuis la Savoie pour Yoann et Julien et depuis le Doubs pour Thomas, Pauline et Cécile. Marc nous rejoint directement sur place.
Arrivée pour Yoann et Julien en début d’après-midi. Compte tenu du mauvais temps annoncé le lendemain et de la charge de bagages, ils décident de faire un premier voyage en montant une partie du chargement sur le chemin en direction d’Eiskapelle. Ils sont rejoints par Marc qui en profite aussi pour laisser son sac dans la montée. Tout le monde se retrouve vers 19h chez Franz. Bières locales, préparation des sacs et Flammekueche chez Franz.
Pas de pesée de sac cette année, le pèse-bagage est limité à 22 kg. Seule certitude, nos sacs font plus !


Mardi 1er août : Montée au camp

Équipe : Yoann, Julien, Cécile, Marc, Thomas, Pauline
Réveil 6h45, ils annoncent de la pluie l’après-midi. Petit déjeuner, empaquetage des sacs et nous voilà partis pour le camp.
La barrière est ouverte, nous esquivons la longue marche sur le plat. Franz ramènera également les deux chauffeurs.
8h30 départ de la rando, il ne fait pas beau mais il ne pleut pas encore. Arrivés près des échelles c’est le déluge, tout le monde arrive trempé à Eiskapelle. on sort tout de la grotte, installation des bâches et de la cuisine avant de pouvoir enfin manger. Le soir il s’arrête enfin de pleuvoir, on prépare des kits pour le lendemain et on vérifie la météo avant de partir faire une bonne nuit de sommeil.







Mercredi 2 août : Dunstloch !

Équipe 1 : Yoann, Julien, Pauline
Réveil vers 7h30, petit déj, empaquetage de kit tandis que l’autre équipe part rééquiper l’entrée du Dunstloch. On vérifie (encore) la météo, des légères averses prévues, ça devrait le faire. En arrivant au trou ils sont encore en train d’équiper. Descente vers 11h direction le fond. Les équipes se séparent à l’intersection vers la branche Zavatta, on continue direction le fond. On arrive vers 14h30 à la salle des Austéroïdes, visite du siphon amont et de la cascade aval. On part ensuite voir le point d’interrogation dans la salle : ça a l’air de continuer. On sort le matos topo. Environ 100 m direction l’ouest jusqu’à retomber en haut d’un actif (peut-être l’amont du siphon amont ?). On continue dans les galeries fossiles mais cette fois plus vers l’est, on ne retrouve pas cet actif mais on en croise deux autres plus petits. On s’arrête car il commence à être tard et que ça escalade un peu trop sans cordes. Au retour, on descend voir la première cascade : ça coule fort et ça pourrait passer par un méandre on remonte et on retrouve les autres un peu au-dessus de l’embranchement. Sortie à 1h15.





Équipe 2 : Thomas, Marc, Cécile
Départ matinal vers 9h pour le Dunstloch. Thomas se lance pour équiper le puits d’entrée. La corde en place est bien prise dans la glace tandis qu’une autre tonchée. Nous devons mettre une nouvelle corde. Ensuite descente sans encombre jusqu’à la séparation de l’actif pour rejoindre le réseau Zavatta. Désescalade pas évidente pour arriver au puits non descendu en 2021 d’environ 20 m avant de trouver un plus grand volume et un petit actif que l’on suit sur 20 m . En on trouve un réseau de 3-4 m et on continue de suivre l’actif sur encore 30 m pour arriver sur un puits d’une quinzaine de mètres (grand volume). La suite continue sur une haute faille qui donne au-dessus d’un puits qui peut faire 15-20 m. On n’a plus de cordes pour aller voir le fond, on décide de remonter. Il est 18h, la remontée est difficile, les bottes pleines de boue, on escalade le réseau Zavatta comme on peut : courte échelle et entraide nécessaire pour arriver à ressortir de là. On retrouve la première équipe après la jonction. Sortie du Dunstloch à 1h30 tous ensemble.










Jeudi 3 août : « Guten tag, you are living here ? »

Équipe : Yoann, Julien, Cécile, Marc, Thomas, Pauline
Réveil aux aurores pour les deux équipes aux alentours de 14h30. La journée s’annonce chargée … ! Deux Tchèques cueillent les filles à la cuisine en hurlant : ils sont stupéfaits de découvrir qu’on est là pour les hobbies. Bah voyons ! Bref, il ne se passe rien. Le soir, Jasmine et Franz viennent nous rendre visite à la faveur d’une averse glaciale. Marc tente de fréquenter un peu, on sait jamais sur un malentendu... On se donne rendez-vous 2 jours plus tard « in the evening ! ». C’est vrai qu’on aurait pu préparer les kits pour le lendemain mais ça nous aurait fait partir avant 17h dans le Dunstloch et ça, ça aurait été dommage. Le Führer se couche en préparant de doux rêves pour cette nuit …



Moment détente dans la cuisine

Vendredi 4 août : Départ pour le campement

Équipe : Yoann, Julien, Cécile, Marc, Thomas, Pauline
Dix minutes après le réveil, les kits sont prêts, la semoule avalée, les troupes sur-motivées. On commence gentiment à se rendre compte que l’Autriche, la spéléo, le monde des hommes, la semoule, le cacao, le lait de vache, et tout ça et ben c’est BIEN DE LA MERDE ! Mais il faut croire qu’on aime bien ça …. Bref après 6h de préparation et 1 m³ d’eau portée à ébullition, on profite un peu d’un rayon de soleil. 4h plus tard on prépare les kits. 3h30 après on part. A 14h nous voilà prêts à rejoindre le centre de la terre pour se mettre à l’abri de l’alerte météo orage pluie inondation (mais enfin une bonne nouvelle le bulletin météo ne parle pas d’avalanche).











Sous terre il fait entre 1 et 3 degrés c’est-à-dire approximativement 0,9 degrés. Dans le premier puits du Dun’s on s’amuse comme on peut. Marc teste le dynamisme de sa longe et d’une corde de 9 mm prise dans la glace : à priori ça tient ! (par méthode empirique). Seul le bidon étanche de Pauline en portera les stigmates ! Thomas soigne sa main en évitant de se casser la gueule sur la glace (ça sent la gaulthérie dans le P33). Pauline fait la gueule comme d’hab.
Seul notre Fürher sifflote paisiblement. Au pied du P10 remontant au bivouac, une tension palpable s’installe entre les deux équipes … Je me terre dans un trou pour éviter la tempête. A force de dialogue de rictus, la situation se calme. Le Picard aurait dit « ouh là on va pas s’énerver ».
On repart, ce pantin c’est vraiment de la merde. Je préfère passer sous silence la partie jusqu’aux os fossiles, car c’est quand même pas terrible. On finit par arriver à cette saloperie de bivouac.

Aussitôt après avoir érigé un magnifique camp de base digne des plus beaux camps de réfugiés du Biafra, on s’empresse de s’adonner à notre activité favorite : faire bouillir de l’eau ! Le Führer s’occupe de cette mission à merveille (on sent qu’il a été bien éduqué au contact d’une personne dont il ne faut pas prononcer le nom), son regard revient toutes les 7 secondes sur la casserole et il dit « ça y est c’est chaud, non ? Encore 2 minutes et je mets les pâtes ». On se marre bien, ça fait quand même chier d’être sous terre avec des cons. Je compte les minutes qui me séparent de la lumière du jour, c’est déprimant. Il fait 0,9 degrés à l’intérieur de la pochette de l’appareil, on chante pour se tenir chaud. Deux jours qu’on a rien foutu j’arrive pas à dormir, je vais donc ériger une superbe arche de pierre qui sera moquée et décrié par mes compagnons de galère le lendemain, ces ignares ne comprennent décidément rien à l’art souterrain. Qu’à cela ne tienne demain je m’exercerai au street art dans la boue !




Samedi 05 août

Équipe 2 : Marc, Thomas, Cécile
Réveil vers 11h. On a quasiment fait le tour du cadran. Comme quoi on est mieux sous terre qu’à Eiskapelle ! Après la traditionnelle semoule, départ vers 14h00 pour les équipes 2 et 2 bis.
Marc part en direction de « on préfère le sud » pour déséquiper tandis que Thomas et Cécile vont du côté du Gluckishermann pour recaler des bouts de topo non identifiés. On en profite pour faire un bonjour à Marc depuis le balcon et on repart faire le tour des points d’interrogation pour relier les bouts de topo. Le secteur est identifié, on fait plusieurs fois le tour des marmites pour s’en assurer et on retourne voir Marc au dessus du balcon. Pas de Marc mais ça sent la cigarette, c’est bon signe !
Petite séance photo dans Gluckishermann avec les moyens du bord (casques et frontales de secours) et on repart pour arriver vers 16h30 au bivouac où l’on retrouve Marc. Pique-nique rapide et on repart à 17h00 en direction d’un puits non descendu dans la zone du Triassic Park. Après un pendule et une désescalade, on tombe dans un petit actif qui se prolonge. A son extrémité, un puits d’environ 50 cm de diamètre avec un fort débit qui prend plus de la moitié de la place (alerte orange oblige !). Retour tranquille vers le camp pour 20h30 après la corvée d’eau.










Équipe 1 : Yoann, Julien, Pauline

Réveil avec l’autre équipe vers 11h00, semoule traditionnelle et on prépare les kits direction une escalade. On arrive à la cascade des voleurs. L’habituel goutte à goutte s’est transformé en une bonne cascade et la corde prend bien la douche. Yoann part alors rééquiper hors crue. On s’essaye à quelques photos, du moins à partir du moment où Julien comprend qu’il faut ouvrir le cache de l’appareil pour que la lumière entre. Passée cette zone humide, on se promène dans les galeries avant d’arriver à l’escalade. Julien se prépare à grimper pendant qu’on mange un bout. La roche est bonne mais quelques centimètres de roches érodées ébranlent la confiance du grimpeur aguerri. Arrivé en haut il demande conseil au Führer, il installe un Y et redescend. Le Führer prend la suite et installe la main courante.
Arrivés en haut il faut encore faire une escalade que Julien attaque avant de mettre un bout de corde sur une lunule qu’il compte rassure quand même... Yoann escalade derrière pour mettre un pendule et retrouver la galerie derrière. Je passe devant pour porter chance. La galerie est belle et grande. On arrive en haut d’un puits, une corde pend en face... Bon ben on est on est sûrement retombés dans le Platten... Apparemment je ne porte pas chance. On revient pour essayer de regarder un méandre qui part mais c’est trop étroit. Une fois le pendule franchi, il est déséquipé car on a utilisé la corde de l’escalade. On mange un bout et c’est réparti pour la topo. On rééquipe donc le pendule avec la corde de l’escalade. Julien s’essaye au street art, il y a des goûts disons particuliers. Yoann efface les tags, ils ne sont pas tous assumés.
En revenant, Julien est motivé d’aller voir une galerie au-dessus. On monte et on tombe sur un méandre qui part à l’opposé. On descend en faisant la topo. On arrive sur une désescalade qui nécessite une corde. On rentre ensuite au camp, les autres dorment déjà on raconte quelques bêtises et on part se coucher vers le magnifique cairn de Julien.

Dimanche 06 août : Départ pour le fond

Équipe 2 : Marc, Thomas, Cécile
Le lendemain, réveil mis pour un départ à 09h00, max 10h du bivouac pour retourner au fond du Dunstloch. On loupe le réveil, (comme quoi on dort bien sous terre !) et debout à 09h00. Après la traditionnelle semoule et la préparation des kits départ vers 11h00 direction le fond ! Descente sans encombre. Le monstre chat gronde mais ne mouille pas c’est le petit chat qui est le plus humide.
Arrivés au début de la partie fossile, le rééquipement commence à 4 mains pour un max d’efficacité et se poursuit dans Zavatta ou l’on utilise une bonne partie de la corde déséquipée par Marc hier. Arrivés dans le puits Nino Ferrer, Thomas équipe le puits laissé en attente tandis que la topo se poursuit.
Arrivés en bas on trouve une arrivée d’eau borgne et une salle ressemblant à celle des Austéroïdes. On se faufile dans les différents départs du méandre avant de retrouver le courant d’air, toujours aussi fort. Une première branche nous mène dans la galerie de taille modeste, où l’on tient debout, avec au sol des écailles de terre décolorées.













Les écailles du dragon


Bluffant ! Arrêt sur P7 non descendu. Thomas part voir l’autre branche, on a trouvé une lucarne donnant accès à une zone d’eau qui semble profonde et parois abruptes (non descendu). Pas de bruit d’eau dans cette partie mais il semble y avoir du courant tandis que dans la première branche on entend au loin un grondement. La progression se fait en alternant dolomie et calcaire, serait-on en train enfin de passer sous la dolomie...?!
20 h il commence à faire tard, on remonte vers Nino Ferrer, picnic, soupe, optimisation des kits (du matos est laissé sur place) et on repart vers 21h30 pour la remontée. Remontée tranquille, ça coule toujours. On arrive enfin au carrefour où l’on a laissé nos affaires de bivouac. Petite soupe et c’est reparti pour la sortie. A 4h, on aperçoit enfin la lumière de la nuit (après 62 h sous terre) et la fraîcheur de la pluie (ça, ça se nous cela ne nous avait pas manqué…). Quinze minutes plus tard, sur le chemin du retour la pluie se transforme en neige ...

Équipe 1 : Yoann, Julien, Pauline

Vers 09h30 Yoann voit une lumière il part retrouver l’autre équipe. Lorsqu’ils partent, il nous rejoint. Il met un réveil pour 14h30. Bon finalement on parle, et seul Julien se rendort. On part déjeuner, on prend bien le temps, puis rangement du camp vers 16h00 et départ. Déséquipement d’un bout de méandre et rééquipement de la vire qui a causé quelques presque-accidents. On sort vers 20h00 sous la pluie. Les 3 derniers mètres suffisent à bien nous tremper. On se retrouve sous la bâche, Julien veut rajouter un actif sur la topo. On s’équipe de bâches, et on rentre au camp. Il fait vraiment froid, on mange et on s’endort. Chill, quoi !


Lundi 07 août : « Petit déj stop téléphone stop cordes stop dodo stop »


Équipe : Yoann, Julien, Pauline, Marc, Thomas, Cécile
Aujourd’hui c’est la grosse journée. Toutes les équipes se lèvent gonflées à bloc et motivées comme jamais. Dehors le soleil brille et encourage nos aventuriers à manger leur semoule sous une bâche. La neige envahie tout et durera une bonne partie de la journée … Les temps sont durs ...








Le camp en version hivernale ...

Mais il s’agirait que les nazes ne nous trouvent pas. Pendant que l’équipe arrivée à 5h se recouche après le brunch, une séance préparation de kits, téléphone et brassage de corde de 200m (cela faisait un moment que la pauvre n’avait pas voyagé...) bat son plein.





Demain on a décidé d’en découdre ! Le Führer a enclenché le mode balistique. Il a ingurgité 1,2 kilo de pâtes 3 min, rien ne peut lui résister. Il fait la sieste avec son perfo pour le préparer et se glisse des mèches dans ses gigantesques bottes (ben quoi c’est que du 47 ?!) pour ne pas qu’elles rouillent. Pendant ce temps-là, Pauline médite sur les trajectoires complexes de l’eau dans un jerrican, car la veille elle a tenté de nous expliquer que sous terre, la gravité est inversée.

Après toutes ces succulentes aventures, et puisque cela faisait un moment qu’on n’avait pas mangé, Marco gynéco nous gratifie d’une de ses spécialités culinaires : les croûtes au fromage ! En toute franchise, Dieu que c’est bon. En plus, le gras est le meilleur ami du maigrelet dans le froid saisissant d’un début août. Nous sommes d’ailleurs des aoûtiens assumés, il paraît que ce sont les pires. En tous cas ces croûtes devraient nous permettre de descendre rapidement dans l’Emmental. Vient le moment de la préparation au coucher : même si personne n’ose le formuler, tout le monde redoute le moment de remettre sa sous-combi et sa combi trempée (sauf Pauline qui vit avec sa sous-combi depuis janvier 2004).

Le Führer s’équipe de son tuba et de ses chaussons néoprènes pour passer une agréable nuit peuplée nous l’espérons de rêves aquatiques (nous espérons aussi plus aquatiques que les puits de l’Emmental demain…). Bonne nuit stop !


Marques déposées des Dunst’ProModèl et l’Emmental Siphon II, les must de cette saison 2023 ! Même les souris ont apprécié les Dunst, la preuve par les crocs !

Mardi 08 août : « L’Emmental est râpé »

Équipe 1 : Yoann, Julien, Pauline, Cécile

Ce matin réveil vers 7h30, le soleil se fait timide mais il est enfin là. On sort prendre le petit-déjeuner dehors, c’est vraiment agréable. Bon la température c’est pas encore ça, on se croirait en plein hiver. On en profite pour faire sécher toutes les affaires le lapiaz se transforme en sèche-linge géant.





Yoann Julien et Pauline se préparent direction l’Emmental. Il ne faudrait pas voir trop de soleil quand même. On rentre vers 11h00 après avoir profité encore d’un peu de soleil. La descente est rapide. Au terminus de l’explo précédente, Yoann part équiper tandis qu’on mange rapidement. Une fois qu’il a disparu, on démarre la topo. Ça commence mal, le Disto ne prend pas les visées, il n’y a presque plus de batteries à cause du froid. On finit par s’en sortir. Au milieu du puits, Cécile nous rejoint, on peut continuer la topo à 3. Quelques dizaines de mètres plus bas, on rejoint Yoann : l’Emmental est râpé !




Séance équipement pour Yoann








Après environ 80m de puits, on se retrouve au-dessus d’un siphon. Bon ben il faut remonter la corde de 200m ! Un petit tag caché à jamais est inscrit. Yoann déséquipe, on mange un bout, on lave la corde et on remonte 2h30 plus tard. Il reste un espoir de départ dans un méandre au niveau de l’ancien terminus.




Vue sur le siphon ...

On profite du léger soleil en sortant, et on rentre au camp. On fait l’inventaire du matos, on mange et au lit.



Séance nettoyage



Sortie sous le soleil !



Équipe Marc
Profitant du seul jour de soleil, je suis resté en surface. Petite balade pour accompagner Cécile à l’Emmental qui est partie 1 à 2h après les autres.


Équipe Thomas

Rando et prospection sous le soleil ! Déséquipement de l’entrée du Dunst.
Retour à Eiskapelle pour retrouver Marc et commencer à replier le camp, séchage des bâches et des diverses affaires. Belle dernière journée, pas très chaud mais soleil ! Passage de Franz en fin d’aprèm qui effectuait une initiation dans le massif.

Mercredi 09 août : Descente dans la vallée

Équipe : Yoann, Julien, Pauline, Thomas, Marc, Cécile

Départ efficace avec une descente qui se fera comme la montée : sous la pluie ! Franz nous avait prévenu que le chemin avait été en partie emporté lors de l’alerte orange pluie inondation mais bonne nouvelle, il a été réparé la veille ! RDV à 11h avec Franz (et sa voiture), les premiers arrivent à 11h, timing parfait ! Aller retour au parking et Yoann repart avec son véhicule chercher les deux derniers. Arrivés chez Franz, DOUUCHE chaude, sieste, farniente et resto avec Franz et ses amis.






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dimanche 28 avril 2024

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