La secrétaire nous apprend quelle a trouvé un trou dans les bois du Lomont.
Quelques jours plus tard, on se retrouve à faire le cheminement en forêt pour retrouver le fameux trou.
Houai, il y a bien une dépression dans un versant abrupt, parmi les blocs... mais aller s’imaginer que c’est un gouffre ici !
Bref, on se met illico au travail. Debout sur le fond du "gouffre", on a la partie haute du corps, jusqu’à la taille... qui dépasse à l’extérieur.
D’abord des branches, beaucoup de mousses, puis de la terre bien noire bien meuble... Ça descend vite. Et on peut se passer les seaux de la main à la main. Il faudra revenir !

4 séances …

A la séance suivante, il faut utiliser des cordes pour organiser la noria des seaux. Ça descend toujours aussi vite. La gratounette fait ici merveille. Régulièrement, des espaces vides apparaissent entre le remplissage et les parois. Ça devient intéressant.

Un appel est lancé par mail pour une nouvelle séance un vendredi soir. Claude ira avant pour améliorer l’équipement avec l’installation d’une poulie.
Du coup, on se retrouve à sept, bien décider à descendre un grand coup. Les gros blocs sont éclatés. Pour remonter les morceaux à l’extérieur, une nouvelle technique est testée. Les blocs sont roulés ou posés dans une sorte de gros filet qu’il suffit de mousquetonner sur une corde. Ce nouveau procédé permet une évacuation plus rapide et beaucoup plus sûr qu’en utilisant des sangles.

… Et puis voilà

Une petite salle découverte !

En guise de conclusion :

En final, cela ressemble à une première idéale :

– un gouffre inédit
– un potentiel intéressant avec une altitude à 764 m !
– une désobstruction "propre" alors que nous sommes en général dans l’argile collante

La suite est sous nos pieds ...
Mais les travaux titanesques qu’il faudrait entreprendre pour vider la suite du puits comblé, nous incitent à suspendre les travaux … pour le moment ! …